La peur, c’est un sentiment qu’on connaît tous. Dans la vie privée comme professionnelle, elle nous accompagne à des moments clés de notre vie.
Dans nos instincts les plus primitifs, la peur a une fonction bien précise, nous faire prendre conscience d’un danger. Face à ce danger, vous avez alors deux options : fuir ou combattre. Aucune de ces options n’est meilleure ou pire que l’autre, parce qu’elle est simplement la réponse à notre instinct de conservation.
Ma plus grande peur professionnelle
Il y a quelques mois, j’ai donc affronté une de mes peurs professionnelles : je suis devenue auto-entrepreneuse.
Cette décision était réfléchie : mon budget prévisionnel était fait, mes coûts calculés, mon message travaillé… Il ne manquait plus qu’à y aller.
Malgré toute la préparation du monde, la peur restait là. C’est comme un saut en parachute. On a beau préparer tout son matériel et s’entourer de professionnels, au moment de sauter, on a la trouille.
Le saut vers l’inconnu
Alors voilà, en février, j’ai sauté. Finalement, l’anticipation du saut fait plus peur que le saut lui-même. Je n’ai plus vraiment peur. Bien sûr, il y a des moments de doutes, mais il y a aussi des victoires. MES victoires : quand je prends mon téléphone pour appeler des entreprises et qu’elles finissent par travailler avec moi, quand je rencontre des pairs qui me demandent conseil, ou encore quand, à la fin du mois, je ne me demande plus si j’aurai assez d’argent pour pouvoir m’acheter des chaussettes.
Quel est mon moteur lorsque je sens la peur arriver ? Mes trois piliers :
- Le soutien de ma famille
- Le travail
- Le ratio risque/gain (si je fais ça, qu’est-ce que je risque ? Que m’arrivera-t-il de pire ou de mieux ?)
Pour conclure, si vous doutez de vous, si la peur devient trop forte, recentrez-vous et appuyez-vous sur vos piliers. En fait, que vous arrivera-t-il si vous poussez la porte de votre ambition ?
Racontez-moi vos histoires, qu’est-ce qui vous motive le plus au quotidien ?
Besoin d'aide ?
Parfois, pour affronter ses peurs ou des difficultés, il suffit juste d’avoir les bons outils. On s’en parle ?
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